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Le week
commence par le vernissage-dédicace du livre de Mickael
Halsband et Joël Tudor : "Surf Book". Dès ce
vendredi soir, le ton du week-end était donné. Décontraction et mélange des générations, le tout sur
fond seventies seront les principes de base des trois
jours.
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Le samedi
matin sur la plage de Marinella, les visages encore
embrumés de la soirée précédente, les participants
sont confrontés à des vagues puissantes mais de
qualité atroce. La phrase de Lartigaut :"c'est une
victoire sur l'océan", à la vue d'un concurrent
sur une des rares vagues surfables, reflète tout à fait
l'état du plan d'eau.
Le
dimanche matin après une longue soirée sur le site de
la compétition, tous les participants étaient néanmoins
présent. Les vagues beaucoup plus abordables que la
veille ont enfin permis aux surfeurs de s'exprimer.
Le
résultat de cette compétition reste quand à lui
anecdotique. Bien que dans l'eau les
"compétiteurs" donnaient leur maximum, très
peu d'entre eux allaient voir le tableau des résultats.
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Entièrement
dédié au single, le Op Royal single trophée a permis
de regrouper un splendide collection de planches. De la
Bolt shapée par R.Kim de Jean Sarthou en passant par
celle shapée par Gerry lopez et utilisée par Bage, le
panel était complété par un multitude de planches
françaises et européennes( Barland, Freedom, ...) |
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Mais
l'évènement de cette manifestation restera la
présence de Joël Tudor. Fidèle à sa réputation, le
triple champion du monde a fait preuve d'une grande
humilité. Son ouverture d'esprit et son amabilité
naturelle ont donné un ton spécial à ce qui devait être
une compétition et qui en fait s'est transformée en un
petit woodstock du surf hexagonal. |
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